Taï Chi – A partir d’un certain âge pratiquer le Taï Chi est un réflexe de longévité

Taï Chi – A partir d’un certain âge pratiquer le Taï Chi est un réflexe de longévité

Le Taï Chi, un sport du troisième âge ? Il est vrai que cet « art interne » est conseillé aux personnes âgées pour se maintenir en bonne santé. Mais c’est tout de même un peu plus compliqué !

Bien sûr, on ne niera pas qu’il s’agit d’une gymnastique douce. Contrairement à la course à pied et aux autres mouvements limités et répétitifs, le Taï Chi évite les problèmes articulaires rencontrés à partir d’un certain âge dans la pratique d’un sport. Ici, les mouvements sont effectués en douceur et s’exercent dans toutes les directions.

Pour cette raison, le Taï Chi est effectivement adapté aux plus de cinquante ans. Mais n’oublions pas qu’il faut de nombreuses années de pratique pour arriver à en tirer le maximum de bienfaits énergétiques. Aussi mieux vaut-il commencer assez tôt, afin d’en récolter le fruit au moment où l’on en a le plus besoin.

C’est dans sa jeunesse que l’on prépare sa vieillesse.

Ce Taï Chi, que va-t-il apporter à la personne vieillissante ?

Essentiellement, de l’énergie ! Qu’est-ce à dire ? Quand on appuie sur un interrupteur, le Chi de l’univers est converti en énergie électrique qui passe dans un lampadaire qui, à son tour, transforme l’énergie électrique en lumière.

De la même manière, pour bouger un doigt, le Chi de l’univers se convertit en Chi humain qui est conduit jusqu’aux muscles du doigt qui transforment cette énergie en mouvement.

Mais lorsque le corps commence à s’affaiblir, il devient impératif de connaître et de mettre en application les lois régissant le mécanisme interne de l’énergie, du Chi humain. Et c’est là tout le propos du Taï Chi !